Quand la générosité d'un citoyen corporatif aide à faire bouger les jeunes de Cap-Chat

Il s'agit de la deuxième année consécutive que le dépanneur Denis Francoeur de Cap-Chat assume la facture totale pour permettre aux enfants de pouvoir glisser au centre de plein-air. « Au départ, j'avais acheté une fin de semaine et immédiatement, on avait constaté l'engouement. Nous avions eu de la belle température et les jeunes étaient au rendez-vous. J'ai donc continué à m'impliquer en compagnie d'autres partenaires et finalement, depuis l'an dernier, j'assume les coûts au complet », explique le propriétaire du dépanneur.

Pour Denis Francoeur, il est tout naturel de s'investir de cette manière. « C'est ma façon d'être un bon citoyen corporatif. Il y a tellement peu d'entreprises à Cap-Chat qu'on se doit de répondre positivement lorsqu'on nous approche pour commanditer des événements. Ça me rejoint particulièrement lorsque ça touche la jeunesse. Dans ce cas-ci, ça leur permet de sortir et jouer dehors et, ils peuvent utiliser l'argent qu'ils n'ont pas eu à dépenser pour la glissade pour se payer une petite collation à la cantine du Centre de plein-air. »

Ne préférant pas chiffrer sa contribution qui n'est pas anodine, Denis Francoeur entend répéter l'expérience dans l'avenir. « Tant que le Centre de plein-air aura besoin de moi pour cette activité, ils pourront compter sur mon appui », conclut-il.