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Retour25 mars 2019
Quatre étudiants du Cégep de Matane à la Simulation francophone des Nations Unies
Initiation à la diplomatie
©Gracieuseté SiFNUUL
De gauche à droite, Charles Saint-Louis, Cendrine Leblanc, Mathilde Lévesque et Jérémi Bouffard encadrent Stéfanie Sirois-Gauthier, au centre, ancienne étudiante de Matane, membre du comité organisateur de la SiFNUUL 2019.
La 5e édition de la Simulation francophone des Nations Unies à l’Université Laval (SiFNUUL), du 8 au 10 mars, a permis à quatre étudiants en sciences humaines du Cégep de Matane de s’initier aux rouages de la gouvernance mondiale.
Cendrine Leblanc, Mathilde Lévesque, Charles Saint-Louis et Jérémi Bouffard, quatre étudiants en sciences humaines du Cégep de Matane, ont participé à l’édition 2019 de la SiFNUUL au début du mois, à l’Université Laval, où ils ont respectivement représenté le Liban, la Norvège, l’Autriche et l’Ukraine, dans le cadre d’une discussion dont le thème choisi a été cette année le contrôle international des drogues. « J’ai adoré mon expérience. C’était un événement diplomatique incroyable qui m’a permis de bien comprendre les rouages de l’ONU et de mieux saisir les enjeux en lien avec la gestion des drogues sur la scène internationale », a témoigné Mathilde Lévesque, étudiante en deuxième année de sciences humaines au Cégep de Matane.
Encadrés par une ancienne diplômée de l’établissement, Stéfanie Sirois-Gauthier, aujourd’hui étudiante à l’Université Laval en affaires publiques et relations internationales et membre du comité organisateur de l’événement, les quatre étudiants ont eu l’occasion d’appliquer les connaissances acquises durant leur cursus mais surtout de pouvoir profiter d’une expérience formatrice dans le domaine des relations internationales, qui pourrait les aider par la suite dans leurs études et la préparation de leur carrière. Créée fin 2014, la SiFNUUL a pour buts de permettre aux étudiants intéressés par la gouvernance mondiale de découvrir les rouages diplomatiques de l’ONU, de vivre une initiation stimulante aux affaires internationales, de prendre part à une simulation de débat autour d’enjeux comme les droits de l’homme, de développer leurs compétences en français, leur sens de l’organisation et de la négociation.
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