Carrières Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com Infolettre

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Opinion

Retour

24 août 2017

La disparition de cette église n'est pas une question de foi, de croyance, de religion !

©Photo TC Media – Joël Charest

LIBRE OPINION. Il s'agit d'une oeuvre d'art, l'oeuvre de l'architecte Georges-Émile Tanguay (1858-1923) de style Dom Bello, une des trois dont la province peut se vanter ! J'en ai visité une autre dans l'Île d'Orléans en face de Québec.

Étant né à Matane en 1933 dans le premier hôpital situé à où se trouve aujourd'hui le grand centre commercial, Galeries du Vieux Port. Il ne faut pas se référer aux objections de l'archevêque qui lui n'a pas hésité à mettre à peu près 3 M$ pour rénover son gîte, c'est, du moins, ce qu'on m'a dit.

Ayant fait externe, ma cinquième, sixième et septième au collège des Frères du Sacré Cœur (St-Antoine) ayant servi les messes (à peu près à tous les autels), les mariages, les funérailles, les vêpres, je connais la splendeur de cette église. Avec un de mes neveux, nous avons acheté symboliquement un banc lors de la campagne de financement pour la restauration des clochers et du toit de l'église.

Étant de Matane (dans mon cœur) devenu fils de colon à St-Nil, paroisse fermée depuis par nos gouvernements au détriment des résidents, je retourne à Matane, le long de notre splendide rivière Matane, chaque été. S'il vous plait, Matanais, ne vendez pas, ne fermez pas ni le presbytère, ni l'Église Saint-Jérôme.

Jean-Yves Tremblay

Ex-professeur au classique et au Cegep de Maisonneuve

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média