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11 janvier 2018

Dominique Fortier - dfortier@medialo.ca

Cap-Chat prépare son plan d'urgence et de communications

©Photo TC Media - Dominique Fortier

La nouvelle administration de la ville de Cap-Chat se penchera prochainement sur l'élaboration d'un plan d'urgence qui commence par une façon efficace de rejoindre l'ensemble des citoyens.

Lors de la dernière campagne électorale municipale, la mairesse Marie Gratton, avait martelé sur l'importance de communiquer les informations essentielles aux citoyens de manière rapide et efficace. « En cherchant des façons de  transmettre l'information aux cap-chatiens, ça m'a mené à fouiller pour voir ce que proposait notre plan d'urgence. Finalement, ce que nous avons trouvé est un vieux plan datant de 1988 qui n'a jamais été modernisé. »

Devant ce constat, la mairesse et son conseil ont décidé d'aller de l'avant avec l'élaboration d'un plan d'urgence. Une première rencontre avec la Sécurité civile se fera le 26 janvier. « Au cœur de ce plan repose les communications. La semaine dernière, nous avons utilisé Facebook pour partager l'information concernant la remise de la cueillette des ordures et ç'a bien fonctionné. Maintenant, il faut considérer les gens qui n'ont pas accès à internet. Heureusement, on utilise encore le bon vieux téléphone. Il y a aussi l'option de faire du porte à porte. Ce sont toutes des options qui seront envisagées. Cette fois-ci, c'était seulement des ordures mais la prochaine fois, ça pourrait être quelque chose de plus urgent que nous aurons à transmettre comme information. »

L'expérience de l'utilisation de Facebook pour aviser les citoyens de Cap-Chat a été concluante pour la mairesse Gratton alors que plus de 1 300 personnes ont été atteintes sur les réseaux sociaux. « C'est certain qu'au cours des prochains mois, nous aurons un plan à proposer à nos citoyens. »

Lors du dernier conseil de ville, un citoyen avait lancé, un peu à la rigolade, de dépoussiérer l'ancienne sirène, qui servait autrefois pour alerter les gens en cas d'urgence. « J'ai aimé l'idée, répond Marie Gratton. La seule chose, c'est que nous ne savons pas où elle est », conclut-elle, sourire en coin.

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